Coorigines fait son cinéma !

Chez Coorigines, on aime, on adore, on chérit le cinéma et on vous dit pourquoi :

• LA LUMIERE
  Et oui, même si la pellicule n’est plus usitée, nous gardons chevillée au corps cette fascination pour l’exploit technique, celui de capter les rayons de lumières et d’en jouer. On aime l’IMAGE, sa composition, sa netteté ou son flouté, les jeux de couleurs et de lumières, les contrastes, les dégradés, les mise en abîmes, le mouvement, les jeux de lignes, de courbes, etc. etc. et nous jubilons lorsque celle-ci est mise au service du propos ou à l’inverse vient le déconstruire pour mieux nous interroger. C’est donc déjà toute cette alchimie, qui nous fait voyager.

• L’OUVERTURE
  En parlant de voyage, allons plus loin, et découvrons… Quel formidable média est le CINEMA pour effleurer la vie des autres, d’où qu’ils soient, du bout du monde ou de l’autre côté de la rue, d’hier ou d’aujourd’hui, voire se projeter dans demain ou dans l’imaginaire. Voir un film c’est un pas vers tous ces autres, c’est emprunter un pont qui nous relie, c’est prendre un train, observer, écouter, ressentir, s’assoir à une terrasse de café et discuter avec notre voisin.e. C’est s’assoir dans une salle et prendre le temps d’être transporter dans un autre univers, quelle que soit le lieu et l’époque.

• L’EMOTION
  Un voyage certes, mais aussi sensoriel. Un film c’est aussi la promesse de ressentir toute la palette des sentiments humains qui nous attirent, nous font vibrer : rire, pleurer, sympathiser, avoir peur, désirer, craindre, aimer, détester, être attendri.e, être en colère, sentir l’adrénaline monter en nous, s’indigner, s’apaiser, se laisser porter, toujours.

• L’INTERACTION
  D’abord, avec l’auteur.e, le/la réalisateur/ réalisatrice. Il/Elle nous propose son monde et a choisi son équipe, composée avec tous les aléas survenus avant, pendant et après le tournage. Et puis il y a celles et ceux qu’ils mettent en scène. « Eux c’est nous et nous sommes eux ». C’est le gigantesque pouvoir du cinéma. La vie n’est pas un film et un film n’est pas la vie. En revanche, Nous y puisons un savoir, une émotion, un divertissement, une interrogation, une évasion, qui s’inspirent de nous tous, de la somme de nos vécus narrés, transposés, entremêlés, altérés pour toucher à ce qu’il y a d’universel en nous. Nous sommes tous des êtres humains et le cinéma peut nous rapprocher.

• UN ART MULTIPLE, qui en appelle tant d’autres
  Pour qu’un film prenne corps, que les dialogues prennent sens, que les scènes s’enchaînent, c’est une multitude de savoir-faire, qui peuvent être convoqués. Bien sûr il y a l’écriture, la conception imagée, et la performance des acteurs mais autour d’eux il y a toute l’équipe technique composée d’innombrables talents : il faut des dénicheurs, des constructeurs, des créateurs, des sonorisateurs, des éclaireurs, des organisateurs, etc. etc. C’est une avalanche de matières, de technicité, articulée par l’inspiration et la sensibilité de chacun, afin de donner au film toute sa cohérence, son cachet, sa réalité.

Voici, entre autres, tout ce que l’on aime dans le cinéma et c’est pourquoi Coorigines se lance dans la coproduction cinématographique.

Au programme, c’est à dire en développement, des documentaires, des fictions, des docu-fictions en Mongolie, en Palestine et nous l’espérons dans encore bien d’autres pays.

Et parce que l’on est un peu fou -des autres- à Coorigines, on aimerait bien aussi, un jour, vous faire notre petit festival, pour aller à la rencontre d’autrui, pour discuter avec tous ceux qui créent et font les films, pour devenir ou côtoyer un instant ces personnages fictifs ou non. Cela supposerait des temps de rencontre (conférence, table-ronde, atelier), des espaces de découverte pour aller plus loin (des livres, de l’artisanat), des moments propices à une immersion culturelle avec des spectacles, des concerts, des expositions.

En somme, on vous bâtirait bien un cocon dans lequel vous seriez douillettement installés afin d’entrer en contact, le temps d’un après-midi, d’une journée, d’un week-end avec tant d’autres parcours de vie. Ce serait des rencontres interculturelles. Elles contribueraient à bâtir des liens sincères entre tous, pour que les altérités deviennent un vecteur d’entente et de partage.

En attendant, nous partagerons déjà nos coups de cœurs sur cette page.